FAQ
Questions fréquemment posées.
Q1- Quels sont les débouchés des classes préparatoires?
Q2- Une école d’ingénieur, cela mène à quel métier?
Q3- En prépa, est-on informé et conseillé pour choisir les concours?
Q4- Peut-on redoubler les classes préparatoires?
Q5- En quoi le travail en prépa est-il si différent de celui que l’on fait en terminale?
Q6- Comment se passent les interrogations orales?
Q7- J’habite loin du centre ville. Est-il obligatoire que je prenne un logement en ville pour suivre une math sup l’an prochain?
Q8- Après le bac, pendant les vacances d’été, que puis-je faire d’utile pour ma rentrée en math sup?
Q9- J’hésite entre une MPSI et une PCSI. Quelles sont les raisons de choisir l’une ou l’autre?
Q10- Comment choisir ma prépa sur le site de la procédure de recrutement?
Q11- Quels types d’élèves recrutez-vous?
Q12- Sur quels critères acceptez-vous les candidatures?
Q13- Est-il obligatoire d’avoir fait la spé math en terminale pour entrer en math sup, et particulièrement en MPSI?
Q14- Est-il obligatoire de prendre l’anglais en LV1? Quels enseignements de langues assurez-vous? La LV2 est-elle obligatoire?
Q15- Je ne suis pas catholique et j’ai toujours étudié dans l’enseignement public. Cela poserait-il un problème si je venais chez vous?
Q16- Quel est le taux de réussite dans votre prépa?
Q17- Y a-t-il beaucoup d’abandons en cours d’année?
Q18- Sur quels critères faites vous passer les élèves de math sup en math spé?
Q19- Quel est le niveau de votre prépa?
Q20- Qu’est-ce qui différencie votre prépa des autres?
Q21- Ferez-vous une réunion d’information ?
Q22- Peut-on bénéficier d’une bourse?
Q23- Quels sont les documents spécifiques à fournir pour être candidat?
Q24- Comment prendre en compte la réforme du bac et quelles matières choisir en première?
Q1-Quels sont les débouchés des classes préparatoires ?
R1-La fonction des classes préparatoires est, comme leur nom l’indique, de préparer les élèves aux concours d’entrée des écoles d’ingénieurs et des écoles militaires.
Q2-Une école d’ingénieur, cela mène à quel métier ?
R2-Ingénieur est un titre qui garantit une compétence scientifique à bac+5, ce n’est donc pas un métier. Un très large éventail d’activités est proposé aux ingénieurs : dans une usine ou sur des chantiers, en bureau d’études, dans un service informatique ou administratif, dans des activités commerciales, bancaires ou d’expertise. Certains ont un statut de fonctionnaire, d’autres créent leur entreprise, certains sont employés dans la grande industrie, d’autres dans des PME. Voyez les guides de l’ONISEP pour un panorama plus complet.
Q3-En prépa, est-on informé et conseillé pour choisir les concours ?
R3-Chez nous, les élèves sont informés sur les concours, les écoles et les carrières, en particulier par nos anciens qui viennent chaque année animer un forum interne début décembre. Cette année, le forum a lieu le second vendredi de décembre. Les élèves de math spé reçoivent de plus un conseil individuel en fonction de leur potentiel et de leurs aspirations au moment des inscriptions aux concours. Le nombre d’élèves admissibles en math spé montre que notre système fonctionne bien.
Q4-Peut-on redoubler les classes préparatoires ?
R4-La math sup ne se redouble pas, sauf raisons médicales graves ou changement de filière. La math spé peut se redoubler, après avis du conseil de classe. C’est un choix qui n’est pas neutre aussi, tout élève désirant redoubler devra prendre rendez-vous avec la directrice des études, afin de préparer au mieux sa seconde spé.
Q5-En quoi le travail en prépa est-il si différent de celui que l’on fait en terminale ?
R5-L’ensemble des connaissances à acquérir en prépa est à la portée de la plupart des bacheliers. Ce qui est difficile, c’est d’assimiler à la cadence requise par l’ampleur du programme. Pour suivre cette cadence, il faut être bien organisé et surtout régulier dans son travail. Les cours, notamment en mathématiques, doivent être appris beaucoup plus en détail qu’au lycée. La physique chimie est en MP une seconde matière qui réclame pratiquement autant de travail que les mathématiques et il s’y ajoute le français, la langue vivante, les sciences de l’ingénieur et l’informatique. Au total, on compte qu’il faut donner environ 27 à 30h par semaine d’un travail personnel dense et régulier pour s’en sortir.
Q6-Comment se passent les interrogations orales ?
R6-Il y a chaque semaine une interrogation en mathématiques et alternativement une interrogation soit en physique chimie soit en langue vivante. A l’heure indiquée, 3 élèves constituant un «trinôme» se retrouvent avec l’interrogateur. Pour les matières scientifiques, chacun reçoit l’énoncé d’un exercice qu’il traite au tableau (nous disposons de salles équipées de trois tableaux à cet effet). L’interrogation dure une heure et en général chacun traite plusieurs exercices. En langue vivante, chacun prépare son intervention au moyen d’un texte ou d’un document audio et s’entretient ensuite 20 minutes avec le professeur. Chaque interrogation est notée.
Q7- J’habite loin du centre ville. Est-il obligatoire que je prenne un logement en ville pour suivre une math sup l’an prochain ?
R7-Les temps de trajet sont évidemment pénalisants, mais une séparation d’avec la famille n’est pas forcément la bonne solution au moment où l’on risque d’être fragilisé(e) par les difficultés scolaires. Autant l’éviter si on peut. Chez nous, l’emploi du temps est organisé de manière à ce que les élèves finissent les cours tôt dans l’après-midi et ceux qui habitent loin du centre bénéficient d’un aménagement des horaires d’interrogations orales en semaine. Pour les élèves qui sont obligés de se loger seuls sur Marseille, il est en général préférable de retourner le week-end vers sa famille. Chez nous le samedi est libre et ces élèves peuvent partir dès la fin d’après-midi du vendredi, moyennant là aussi un aménagement des horaires des interrogations orales le vendredi.
Q8-Après le bac, pendant les vacances d’été, que puis-je faire d’utile pour ma rentrée en math sup ?
R8-Il n’y a pas grand-chose à gagner à réviser la terminale, qui sera très vite dépassée en prépa. Nous recommandons de lire pendant les vacances les 3 ouvrages désignés chaque année par le Ministère pour servir de support au programme de français. D’autre part tout ce qui peut être fait pour améliorer le niveau en langue vivante est bon à prendre. En fin d’été, il est bon de revoir les formulaires de trigonométrie et d’analyse en vue des premiers calculs de physique. Sinon la préparation principale est mentale : se motiver pour relever le défi de la cadence de travail qui va être exigée.
Q9-J’hésite entre une MPSI et une PCSI. Quelles sont les raisons de choisir l’une ou l’autre ?
R9-Il faut considérer vos goûts et votre projet : du point de vue de la physique, il y a peu d’écart entre les deux filières. Par contre il y en a beaucoup pour les mathématiques et la chimie. Si cette matière vous plaît particulièrement et surtout si vous envisagez une carrière dans cette voie, il est impératif de choisir PCSI. Si par contre vous aimez particulièrement les mathématiques c’est MPSI qu’il faut prendre.
Q10-Comment choisir ma prépa sur le site de la procédure de recrutement ?
R10-D’abord il n’y a plus besoin d’ordonner vos voeux. Le moment venu, il faudra choisir. Il n’y a pas de meilleure prépa en soi. Il y en a une qui vous conviendra mieux que les autres. Le pire serait pour vous d‘être face à une concurrence trop forte, qui vous condamnerait à regarder depuis un petit strapontin les professeurs avancer à grandes enjambées avec une tête de classe inaccessible.
Dernière remarque: les prépa n’ont pas connaissance des voeux des élèves lorsqu’elles envoient le classement de leurs dossiers vers l’ordinateur central, sans modification ultérieure possible, au mois de Mai.
Ce paramètre ne peut donc pas entrer en ligne de compte dans l’évaluation du dossier.
Q11-Quels types d’élèves recrutez-vous ?
R11-Dans l’ensemble des bacheliers se présentant en math sup, il faut distinguer une catégorie très peu nombreuse d’élèves qui sont immédiatement prêts à relever le défi et constituent à la fin l’élite des candidats aux concours. Ces élèves se sont auparavant signalés au lycée par un niveau exceptionnel et on compte parmi eux nombre de surdoués. Pour le reste des candidats, une phase d’adaptation est nécessaire, avec une infinité de nuances qui vont d’un petit réglage sur la cadence de travail à un énorme chantier sur la quantité, la qualité et la régularité du travail personnel, la capacité d’expression, le soin apporté à la rédaction, la prise en compte de toutes les matières, voire la ponctualité et l’assiduité en cours. La phase d’adaptation peut être de quelques semaines, quelques mois, s’étendre sur deux années, voire trois s’il le faut. Il y a aussi des cas où l’adaptation est impossible dans le temps imparti. La scolarisation des élèves de la première catégorie est un problème à part, qui relève d’une poignée de très grands lycées qui peuvent leur garantir des sections homogènes qui travaillent à leur rythme. Dans l’autre catégorie, la très grande majorité, c’est à la prépa d’essayer de révéler les talents. Cela commence par une lecture fine des dossiers de candidature et se continue pendant toute la scolarité, en alternant conseils, réprimandes et encouragements. Pour qu’un élève révèle tout son potentiel, il faut lui consacrer du temps et de l’écoute, avec constance et patience. C’est ce que nous faisons.
Q12-Sur quels critères acceptez-vous les candidatures ?
R12-La lecture des dossiers de candidature fait apparaître un certain nombre de cas évidents : d’une part des candidatures solides et sans problème, d’autre part des candidatures totalement infondées qui n’ont aucune chance d’aboutir. Le reste consiste en dossiers contrastés, où voisinent les éléments positifs et négatifs. Au-delà des notes, c’est l’appréciation des professeurs et du chef d’établissement d’origine qui est prise en compte, ainsi que les critères d’évolution et de régularité du profil et le projet motivé. Les retards et absences répétés au lycée sont rédhibitoires. Le projet motivé de l’élève est très important.
Q13-Est-il obligatoire d’avoir fait maths expertes en terminale pour entrer en math sup, et particulièrement en MPSI ?
R13-Non. Certains établissements ne proposent pas l’option maths expertes. En revanche, la spécialité Mathématiques est indispensable.
On peut cependant ajouter que le succès en math sup MPSI ne dépend pas des connaissances de terminale, mais bien de la capacité à assimiler celles de math sup.
Bien entendu si le choix de ne pas prendre maths expertes s’est fait pour s’éloigner des mathématiques au maximum, c’est mauvais signe!
Q14-Est-il obligatoire de prendre l’anglais en LV1 ? Quels enseignements de langues assurez-vous? La LV2 est-elle obligatoire ?
R14-L’anglais n’est pas obligatoire comme LV1, mais attention aux concours! L’anglais est obligatoire et souvent déterminant pour les concours de l’aéronautique. Depuis 2013, les Mines exigent l’anglais comme LV1.
Par ailleurs la littérature scientifique et les échanges internationaux imposent une maitrise de cette langue. Nous faisons dans la mesure du possible, pour l’anglais, deux groupes de niveau.
Il est donc nécessaire de l’avoir au moins en LV2.
La LV2 n’est pas obligatoire. Aux concours, elle est traitée comme les options au lycée : seuls sont comptabilisés les points au dessus de la moyenne.
Dans notre prépa, nous assurons les enseignements d’anglais, allemand, epagnol et italien, tant en LV1 qu’en LV2 (enseignements ouverts en fonction des effectifs). Mais attention, en cas de fragilités, mieux vaut garder du temps pour travailler les mathématiques et la physique.
Dernière remarque pour les élèves disposant de 2 LV à niveau équivalent: ils peuvent intervertir les rôles des 2 langues à leur guise aux concours; il n’y aucun lien avec les choix faits pendant la scolarité au lycée ou en prépa.
Q15-Je ne suis pas catholique et j’ai toujours étudié dans l’enseignement public. Cela poserait-il un problème si je venais chez vous ?
R15-Notre prépa appartient à un lycée rattaché à l’ordre de Notre Dame de Sion. Il y a des établissements (scolaires ou dédiés à l’action caritative) de ce réseau partout dans le monde (par exemple Sœur Emmanuelle au Caire, vous en avez certainement entendu parler). Une des missions de cet ordre est l’accueil des autres dans le respect de leurs différences. Pour notre prépa, cette règle s’applique particulièrement, avec l’obligation de réciprocité bien sûr. Dans nos classes, les élèves provenant du public comme du privé, catholiques, juifs, musulmans et agnostiques travaillent ensemble sans aucun problème.
Q16-Quel est le taux de réussite dans votre prépa ?
R16-Tous nos élèves admis en math spé sans exception réussissent des concours et se voient proposer des admissions dans des écoles d’ingénieurs. Le nombre de redoublements « subis » en math spé est chez nous remarquablement bas par rapport aux moyennes nationales.
Q17-Y a-t-il beaucoup d’abandons en cours d’année ?
R17-En moyenne sur 31 promotions, il y a entre 2 et 4 abandons en math sup chaque année, ce qui est très peu par rapport à la moyenne nationale. Le climat de classe et l’accompagnement des élèves en difficultés expliquent ce résultat.
Q18-Sur quels critères faites vous passer les élèves de math sup en math spé ?
R18-Nous ne faisons passer de math sup en math spé que les élèves susceptibles de bien suivre cette deuxième année et donc de tirer un vrai bénéfice du lourd travail qu’ils devront y fournir. Cela nous conduit à réorienter chaque année vers l’Université quelques élèves qui, si leur niveau est jugé suffisant, continuent leur scolarité en deuxième année, avec la possibilité d’accéder aux écoles d’ingénieurs par un concours qui leur est réservé ou sur dossier. Nous prenons notre décision sur la base d’une moyenne annuelle qui intègre les 2 semestres plus une semaine de concours blanc récapitulatif qui se déroule en juin. La pondération des notes favorise la fin d’année, pour laisser leur chance aux élèves qui ont mis du temps à trouver la cadence.Nous avons un partenariat avec l’ICAM Strasbourg qui sécurise le parcours des élèves.
Q19-Quel est le niveau de votre prépa ?
R19-La question appelle plusieurs réponses. Le niveau de l’enseignement est le même que celui des autres MPSI/MP : mêmes programmes, mêmes exercices, mêmes devoirs tirés des mêmes annales de concours. Et ceci est obligatoire car les concours de toutes les écoles portent sur l’intégralité du programme MP.
Il va sans dire que les professeurs ont le même niveau de formation que dans toutes les prépas publiques et privées de France. Les nôtres sont aussi auteurs de sujets de concours et de manuels scolaires.
Le niveau des élèves est hétérogène, comme presque partout.
Il est important de distinguer les niveaux d’entrée et de sortie. Le mérite d’une prépa réside en effet dans la plus value qu’elle a permis à ses élèves d’acquérir.
Sur ce critère, nous sommes très performants. Prendre un élève avec un bac à 11/20 de moyenne et l’amener en deux ans à l’ENSICA (constructions aéronautiques de Toulouse) ou en trois ans à Centrale Nantes et Supélec, nous savons le faire et nous le faisons régulièrement, avec des élèves motivés pleins de qualités restées latentes jusque là.
Q20-Qu’est-ce qui différencie votre prépa des autres ?
R20-D’abord notre prépa est petite: une classe de sup MPSI et une classe de spé MP, soit entre 70 et 85 élèves en tout, 10 professeurs, 15 interrogateurs extérieurs, et une équipe administrative comprenant une directrice des études.
Cette petite taille permet des rapports plus simples et détendus. Il existe des liens entre les deux classes, qui font ensemble les activités sportives du mercredi matin.
Notre prépa est de plus insérée dans le lycée Notre Dame de Sion à Marseille qui est de tout premier niveau pour ses résultats mais se distingue aussi en étant le seul où 90% des élèves entrant en seconde sortent avec leur bac en poche.
Ce lycée est lui-même partie de l’ensemble du réseau de Notre Dame de Sion, avec une tradition particulière d’accueil et d’ouverture aux autres .
Notre prépa est née d’un projet pédagogique traduisant la volonté de «faire autrement».
Deux lignes principales caractérisent ce projet.
Nous l’avons voulu «pédagogique», c’est-à-dire en rupture avec une certaine tradition des prépas qui se résume sous cette forme : «quand les élèves réussissent, c’est grâce à nous, et quand ils échouent, c’est qu’ils n’avaient pas leur place en prépa».
Donc pour nous, le problème est autre:
si nous avons recruté cet élève, c’est que nous avons cru voir en lui un potentiel intéressant, donc travaillons avec lui pour le valoriser !
Un exemple. Nous avons récupéré il y a quelques années un bon élève désespéré après les premières semaines car, dans la prépa qu’il avait choisie, le professeur de physique ne pouvait pas «retarder la classe pour répondre à ses questions» :
un trio d’excellents élèves poussait en effet ce professeur à imprimer au cours un rythme beaucoup trop rapide pour le reste de la classe. Nous avons pris le temps de répondre à ses questions, il s’est rassuré, a bien travaillé en prépa et intégré sans problème une très bonne école de physique.
Notre projet s’est aussi voulu «convivial» et humain.
Alors qu’en 1992 la tradition du bizutage était encore la norme, nous avions déjà notre stage de prérentrée à Vars: exactement l’inverse !
Pour nous la compétition c’est le jour du concours, et là il faut être gagneur et accrocheur, mais pendant les années de prépa, on est avec ses camarades d’entraînement et mieux on s’entend avec eux, mieux c’est.
En résumé, notre prépa met chaque élève au centre d’un dispositif qui lui permet de révéler tout son potentiel, s’il veut bien s’en donner les moyens.
Q21-Ferez-vous une réunion d’information ?
R21-Nous proposerons une réunion d’information en visio au mois de janvier. Nous faisonsdeux demi-journées portes ouvertes. La directrice des études peut également vous recevoir sur rendez-vous, seul ou en groupe, au lycée ou en visio. Il suffit de prendre contact par courriel à la directrice des études . Nous organisons notre forum des Grandes Ecoles vendredi 9 décembre à partir de 13h, l’occasion de rencontrer l’équipe pédagogique, les élèves actuels et les anciens élèves qui représentent leurs écoles.
Par ailleurs nous sommes présents au salon de l’étudiant et au forum des écoles catholiques.
Q22-Peut-on bénéficier d’une bourse ?
R22-Les étudiants peuvent bénéficier de bourses de l’enseignement supérieur.
La demande de bourse se fait dès le mois de janvier et impérativement avant la fin avril sur le site du CROUS d’Aix-Marseille.
Chaque élève souhaitant bénéficier d’une bourse est tenu de faire une demande par internet. Le premier versement couvre trois mois. Les suivants sont mensuels de janvier à juin. Les bourses sont versées directement aux étudiants.
Il existe des bourses versées à titre exceptionnel en cours d’année, pour des cas difficiles.
Q23-Quels sont les documents spécifiques à fournir pour être candidat ?
R23-Il n’y a aucun document spécifique à fournir.
Q24- Comment prendre en compte la réforme du bac et quelles matières choisir en première?
R24- Voir la page consacrée à ce sujet.